Bonjour l’auteur...
Ecrire un article est delicat — je me suis essayé —. il laisse la place a beaucoup d’interpretations, surtout que la redaction laisse place a de nombreux non-dits.
Prenant ma plume, permettez moi de vous dire que je considère votre texte tel qu’il est comme un message passeïste et dogmatique, même si vous pensez ne pas l’avoir été. je le perçois comme cela.
Il est passeïste parceque qu’il fige la technologie telle qu’elle est actuellement. Nos aieux et leurs machines a vapeur auraient pu ecrire le même article et fixant la vitesses max a 80 km/h, car... les machines, les voies, les garde-barrieres etc.... Vous nous dites 220, OK, c’est juste aujourd’hui, demain qu’en sera-t-il ?
Il est dogmatique, parce que vous laissez transparaitre le CO2, le bruit, la surface affectée aux voies.. donc des arguments sans alternatives !
Dans une societe développée,Il y a un besoin de deplacements et le train est UN moyen parmi d’autres. Si on souhaite qu’il ne disparaisse pas, --- et les autres moyens également --- il faut lui permettre d’evoluer tant en performance qu’en qualité et coûts bien sûr. Il y a des arbitrages, c’est clair, mais la vitesse n’est qu’un des parametres dependants d’un ensemble d’autres contraintes et d’orientations societales. Votre approche ecologique transpire dans votre message.
En résumé, il faut developper le train y compris dans les planifications faite par les specialistes qui ont des elements de decisions et des contraintes de preparations a mettre en oeuvre car on ne construit pas une ligne en quelques semaines. Vouloir s’y opposer, c’est déja se preparer a contester et etre prisonnier des choix qui s’imposeront alors qu’on peut maintenant maitriser son avenir. C’est en cela que votre dogmatisme est le plus flagrant : pas de voies, donc pas de trains nos enfants seront prisonnier demain de cette situation.
j’apprecie la participation et les avis de tous quand le lis Avox, mais cela n’empeche pas d’etre en desaccord.
merci et bonne journée