Merci à Castor et aux quelques autres qui m’ont apporté leur soutien (Philou13, Yohan, Yvance). Il est rassurant de voir qu’il y a quand même des gens lucides et honnêtes par ici.

Il semble inutile de continuer ce débat puisque l’auteur n’est pas seulement malhonnête, il est carrément dans le déni de réalité. Je pensais juste signaler une erreur, et que celle-ci serait corrigée dans la minute suivante, et me voilà pris à parti et il m’est demandé de justifier mon identité ! Peut-être l’auteur veut connaître mon numéro de passeport ou mon numéro d’assuré social ?

Toujours est-il que s’il n’a pas contacté la rédaction des « Echos », ce qui est pourtant simple, sa liste de questions/réponses ci-dessus n’a aucun intérêt.
Chacun aura compris que ces petites manoeuvres sournoises n’ont pour but que de tenter vainement de me discréditer, et ainsi d’éviter d’avoir à se remettre en cause et de reconnaître son erreur.

Enfin, même sans s’intéresser à mon cas, il est hallucinant de constater qu’alors même que l’on voit la jeune femme apparaître dans le reportage de la CNN, et qu’elle est interviewée (!), certains puissent affirmer que c’est faux. A croire que l’auteur n’a pas pris la peine de regarder la vidéo.

 
 
Quand à Monsieur Pierre JC Allard ci-dessus, qui a l’insulte facile mais la réflexion un peu moins, j’ai quelques éléments de réponse à vous donner :

1- Votre commentaire n’a aucun rapport avec l’article ni avec la conversation, vous n’apporter rien d’intéressant, c’est donc vous le troll mal léché.

2- Je vous signale que l’histoire de ce couple de polonais (niée par l’auteur) prend tout de même les trois quarts de l’introduction. Ce n’est donc pas moi qui ait amené cet élément sans grand rapport avec l’article, mais l’auteur lui-même.

3- A propos de fausses références et d’amateurisme, je n’ai rien à vous prouver. Par contre vous devriez vous poser des questions sur l’auteur ci-dessus.

4- Vous n’avez pas grand chose à dire, vous. Et si vous accordez un quelconque crédit aux dires de cet auteur malsain, c’est vous l’abruti.