@ Lilian Elbé.
Je me permets une remarque de construction.
Généralement dans un exposé, les parties thèse et antithèse sont non seulement équilibrées, mais plus encore : on finit sur l’essentiel.
Or , dans votre article, que j’ai lu de bout en bout dès le début, j’ai noté que l’antithèse, pourtant lourde de conséquence, était donnée rapidement en quelques lignes. une manière de vous dédouaner de ceux qui vous jugeraient partisan. L’essentiel de votre article étudiant le côte « mythique » d’Ikéa. (J’ai employé moi-même le mot.)
Ce qui fait que le titre reste ambigu car on l’entend comme un tout « un capitalisme sympa » et non comme des magasins sympas qui sont néanmoins placés sous le signe d’un capitalisme sauvage.
Quant au fait que le capital ne soit pas en bourse, quand on sait ce que sont devenues les bourses, on ne peut s’empêcher de penser qu’il y a là une intuition de génie !
Ceci dit , vous n’êtes pas responsable des propos de Valmonegasque, co-fondateur de la revue Rubik qui en donne une bien mauvaise image, la vulgarité et les insultes ne rabaissant que ceux qui les emploient.
A bientôt sur d’autres sujets.
Mais bon, ce sera tout pour Ikéa