Commentaire de Bulgroz
sur Bertrand Cantat, retour au désir
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Cantat a regretté d’avoir fracassé à plusieurs reprises la tête de Marie sur le radiateur en fonte de la chambre d’hôtel. On n’en parle donc plus.
Le suicide de son épouse Kristina dans la maison commune est un épiphénomène bien vite oublié. Kristina l’avait soutenu avec abnégation. Avec courage Coupat a quitté la maison commune qui portait le malheur dans les murs.
Deux de perdues, 100 de retrouvées.
Chapeau l’artiste !! Chanter « le temps des cerises » avec la mort de deux femmes qui plane au dessus des planches, quelle abnégation dans la maitrise de la souffrance.
Derniers commentaires
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15/10 18:21 - armand
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15/10 18:13 - glopy1
vous répondez a peu pres n’importe quoi avec un langage stéréotypé... ce qui est écrit (...)
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15/10 13:02 - Martine
Lu ce commentaire dans un journal : « Réinsertion. » « Les mêmes qui prônent sans doute de (...)
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11/10 11:19 - Massaliote
A SAMIR L ’ ABRUTI : devant un jury ça s’appelle des « circonstances atténuantes » (...)
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11/10 11:05 - Roungalashinga
Vous n’avez rien compris à ce que j’ai dit (je l’avais prévu, remarque). Je (...)
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10/10 09:29 - patou
La vérité, c’est qu’on nous a appris à aimer l’horreur, qu’on nous en a (...)
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