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Commentaire de ddacoudre

sur Bertrand Cantat, retour au désir


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ddacoudre ddacoudre 7 octobre 2010 14:51

bonjour lillian

excellent article.
notre existence n’est pas écrite, et le malheur peut nous atteindre sans s’annoncer. nous oublions trop cela souvent, car y penser constamment nous tuerait.
Cantat à toujours fait profil bas devant devant les conséquences de ses actes, seul les médias et les associations ont instrumentalisé son affaire et ont pour de l’argent et de la réputation noirci le tableau à qui mieux mieux. nous avons dans l’ensemble perdu le sens du pardon même devant l’horreur, nous avons force médias répétitif oublier qu’une existence ne se limite pas à un événement même s’il marque de son empreinte l’existence en fonction de sa puissance. mais ce que nous savons c’est que nous disposons d’une capacité de résilience.
elle est utile aux victimùe qui se reconstruise, mais également à leur agresseur pour se reconstruire aussi. partant de là il est difficicle de comprendre l’analyse de ceux qui voudraient que cantat soit mortiféré à vie. il y a de grande chance que ses enfants soient un moteur de sa volonté de revivre, mais il semble que pour les biens pensant vengeurs ce soit un facteur de bien peu d’importance, il est déjà assez dramatique que ceux de Marie Trintignant ne puissent faire autrement que de se résilier devant la disparition de leur mère comme ceux de cantat.

dans ce monde devenu intrusmentaliste avide de faits divers nous avons oublier le mot pardon et croyons que c’est le bourreau qui doit le prononcer.

cordialement.

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