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Commentaire de morice

sur Viktor Bout et les USA, ou Mickey dans Fantasia (7) le rôle de la Roumanie et celui... d'Air France !


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morice morice 14 octobre 2010 08:35

Ah tiens, visé hier dans un autre post, le voilà qui déboule.... merci de révéler votre trollisme ici...


Si vous étiez intelligent, vous sauriez depuis le début de la série que ce livre est cité, et qu’a chaque fois qu’un de ces extraits traduits est affiché on en donne la référence : vous jouez au clown malfaisant que vous êtes :sur le net, vous allez flinguer un par un tous ceux qui vous ont fait des reproches. J’ai toujours cité toutes mes SOURCES dans TOUS MES ARTICLES.


la preuve :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/viktor-bout-et-les-usa-ou-mickey-80513

dès l’intro de la sérien j’ai décrit un homme et sa citation : Lee Wolosky. C’est à partir de là que la série a été écrite : or qu’ai-je dit dès l’intro ? Ceci :

Il devrait ne pas l’être, il ne peut pas l’être, en effet car il connaît parfaitement le sujet : « en 1999, Witney Schneidman, du département d’Etat, effectue la collecte d’informations sur les nombreuses guerres civiles et les conflits qui font rage en Afrique. Il remarque que le nom de Victor Bout, un Russie marchand d’armes, ne cesse d’apparaître dans de nombreux conflits. Parfois, Bout fournit même des deux côtés d’une guerre civile. Au début de l’été 1999, un fonctionnaire de la NSA fait à Schneidman un exposé sur Bout, du type »avis définitif« fondé principalement sur les communications interceptées par la NSA sur son cas. Les photos montrent des douzaines d’avions stationnés dans un aéroport de Sharjah, aux Emirats Arabes Unis, tous appartiennent à Bout. Schneidman commence alors à mobiliser d’autres fonctionnaires. Au début de 2000, lui et le conseiller Lee Wolosky du Conseil National de Sécurité créent une équipe chargée d’appréhender Bout. Tandis que Bout reste peu connu du grand public, pour de nombreux Etats-Unis fonctionnaires, il devient le plus criminel recherché dans le monde, en dehors d’Oussama Ben Laden et de ses proches collaborateurs » notent Farah et Brown dans leur livre « Marchands de mort ». Dès 1999, donc, Wolosky est parfaitement au courant de ce qui se trame à Sharjah. C’est lui qui monte une équipe pour le capturer ! Et quant à le chercher comme Ben Laden... on sait ce que ça signifie d’emblée : « Laissons-le courir », plutôt.... un de plus !

Votre remarque est donc la preuve d’une grande malfaisance : vous cherchez à discréditer un travail que vous êtes bien incapable de faire, ça s’arrête bêtement à ça.. et c’est.... minable.

PS : c’est Farah, pas Farrah : quand vous recopiez, prenez au moins la peine de le faire correctement....

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