Cette réaction, je l’attendais. Le bon franchouillard ugolinesque, qui nous vend son « authentique » ! Pourtant, il y a écrit ici "Chacun sait que l’on peut heureusement vivre sans, mais tout le monde ne
sait pas (les ailleurs, les anti) que l’on peut aussi vivre
heureusement avec« . Car la réalité amicale, sa profondeur ou sa superficialité, n’est pas déterminée par ses conditions d’existence : in situ, de visu ou via Internet. Comme si le fait d’avoir ou de se faire des amis via FB signifiait qu’il ne faut pas en avoir et s’en faire dans la »vraie« vie ? ! C’est curieux cette bêtise manichéenne. Les amitiés dans »la vraie vie« sont localisées : les gens proches de chez soi. Il vaut mieux en avoir que pas du tout en effet. Avec Internet et les réseaux sociaux, ces amis peuvent vivre et s’exprimer depuis un point, loin, inaccessible à notre vie. Il ne faut pas ? C’est ce que vous dites. On peut avoir dans »la vraie vie« , de vrais amis qui parfois se révèlent être de faux amis. La même chose est possible via FB, l’inverse aussi ! Donc, votre commentaire focalisée sur cet aspect est un, manichéen et simpliste, deux, ne répond nullement au texte. C’est comme s’il suffisait de voir écrit »FB" sur un tel article pour provoquer chez certains de l’excitation pure. En plus, si vous aviez pris le temps de bien lire, vous auriez pu mesurer à quel point nous sommes critiques envers FB, et combien, comme je l’ai dit dans un autre commentaire ici, on serait heureux que des Français s’attèlent à la tâche de ne pas laisser aux anglosaxons la création et la gestion de ce genre d’outils.