Deux mois avant les accords d’Évian l’état
Français à annoncé les mesures suivantes
- Personnels de l’armée.
Possibilité de venir sur le sol Français, si non, prime.
Certains de ces Harkis sont venus en France avec
leur famille ont obtenu le droit de séjour puis une prime d’installation et plus
tard la nationalité Française. Les autres, ceux qui sont restés sur leur sol, ont
été contraints de donner leur prime puis ont été abattus avec femmes et enfants
tout comme l’avaient été les Harkettes avec leurs mari et enfants, peu de temps
auparavant.
Les troupes Françaises n’ayant pas encore quitté
le sol Algérien, des fonctionnaires et des militaires ont passé clandestinement
et à la barbe de l’état Français un bon nombre de ceux restants, connus et inconnus d’eux.
Ce qui explique cette deuxième vague de harkis non prévus et pas tout de suite
aidés et reconnus. En fait de par leur volonté première il s’agissait
d’étrangers sur un sol étranger, le notre.
- Personnels fonctionnaires.
Reclassement ou prime.
Contrairement aux engagements pris par les
accords, aucun fonctionnaire ne sera repris, pire, tout comme les harkis leur
prime sera confisquée et ils seront abattus, eux, leurs femmes et leurs
enfants.
Certes, là-bas la France n’a peut être pas
toujours bien agit, déjà qu’elle a du mal sur son propre sol à l’égard de
ses propres citoyens(on le voit tous les jours encore).
Ces propos sont tirés d’historia, thématique de cet organisme on
ne peut plus indépendant.