Bonsoir Lerma,
Pauvre Chilien !
D’abord Vous confondez, en tant que grand Pinochet, un départ volontaire dans l’honneur et la responsabilité qui est la reconnaissance de l’échec, que nous montrent les résultats successifs de la Cour des Comptes, et le licenciement sans indemnités pour faute grave qui, je vous l’accorde, serait dans le cas Sarkozy, bien mérité.
Ensuite, mon propos respecte la légitimité du suffrage universel.
En l’occurrence, cher Lerma, ou vous n’avez jamais lu la Constitution ou vous acceptez que le Président de la République la viole tous les jours en gouvernant.
Pour votre gouverne cet acte permanent est un manquement grave à ses devoirs incompatible avec le mandat que lui a confié le peuple . Un tel acte est, selon l’article 68, passible de la destitution. C’est aussi cela Lerma la légitimité constitutionnelle ! Un mandat électoral ne fonctionne pas à sens unique c’est un contrat civil par lequel le peuple confie, dans les conditions définies à la constitution, une partie de son pouvoir souverain à un représentant, lequel s’engage à l’exercer selon les termes qui lui sont connus quand il brigue un tel suffrage. Ceci n’est pas un chèque en blanc qui confère tous les pouvoirs du peuple à un seul homme, même si c’est l’idée que pratiquement tous les présidents de la 5ème république ont essayé d’inculquer appuyés par leur majorité. Les périodes de cohabitation auraient du vous éclairer.
Votre vision de la démocratie et de la république est celle d’un borgne ou d’un amputé, je n’espère que quiconque vous ait lobotomisé. Renseignez-vous donc avant de vous couvrir de ridicule.
Votre argument : Aucun parti républicain ne réclame le départ du Président n’a aucun sens constitutionnel. C’est une absurdité juridique.
Apprenez qu’en vertu de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 et du titre 1 de la Constitution les partis ne représentent pas les citoyens. C’est la mission des élus et ceux-ci aux yeux de la constitution ne sont ni les représentants du parti dont ils portent l’étiquette ni même de leur circonscription électorale, mais de l’ensemble du peuple.
Le citoyen, en revanche, a des droits y compris celui de donner son opinion et pas seulement aux sondeurs des instituts privés. Il peut s’adresser directement au président de la République pour lui rappeler ses devoirs et le cadre de son mandat si besoin est. En cas de débordement , son droit est aussi de lui soumettre les suggestions qu’il croit nécessaires et utiles à la sauvegarde de l’état qui est la propriété commune sacrée et non celle d’un parti ou de plusieurs.
Méditez et lisez la constitution, puis revenez présentez vos excuses à ceux que, par votre ignorance et vos préjugés, vous induisez en erreur sous prétexte de républicanisme et de démocratie. Une telle action servira davantage la chose publique, si elle vous importe, que les remarques puériles et ignorantes de votre commentaire.
Bonne nuit Lerma ! Vous irez mieux demain.
20/10 22:22 - emile wolf
Bonsoir Michel Je n’avais pas vu votre intervention et vous en remercie. Certes (...)
20/10 02:38 - Rigel
On va les dégommés je m’achète un Lance pierre ! Aussi je pensais un truc tout les gens (...)
20/10 02:31 - Rigel
20/10 02:22 - Rigel
Des honnêtes en politique y’en a pas bcp, déjà on ferait bien de tous les viré et (...)
20/10 02:20 - Rigel
20/10 01:06 - emile wolf
Bonsoir Pastori, Merci de votre appréciation et de votre participation. Avec l’affaire (...)
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