C’est le système capitaliste et la libre circulation des capitaux qui sont porteurs de cet état de fait et de la déliquesence de notre tissu économique et social.
J’explique : nos grandes entreprises ont voulu jouer dans la cour des grands en devenant des multinationales. Les gouvernants successifs, par protectionnisme mais aussi par espoir des retours d’ascenseurs, leur ont fait des cadeaux somptueux. Avec l’argent gagné sur le dos des populations extérieures comme intérieures, certains ont fait beaucoup, beaucoup d’argent, qu’ils ont investi dans des entreprises pas toujours domociliées en France.
Juste retour des choses, il a bien fallu accepter que des étrangers investissent en France.
Si l’on veut avoir des multinationales cela implique forcément d’en accepter sur notre sol.
Pour faire front à la concurrence des capitaux étrangers, on a trouvé de fausses bonnes idées, entre autres, enrichir les riches. Cela a un coût : l’appauvrissement des classes moyennes.
Et les apôtres de cette bêtise viennent benoîtement quand ce n’est pas insolemment, nous dire qu’il faut travailler plus quand il y a de moins en moins d’emplois.
Avec leurs vieilles ficelles ils prétendent pousser la croissance !!!
Loin de moi l’idée de dire que l’économie est la science de l’absurde : la Science est comme une jolie fille, elle nepeut donner que ce qu’elle a. En économie, les donneurs d’ordre sont les riches. Comme ils veulent tout et plus encore, ils ne font de ponts d’or qu’aux théories les plus tordues. Et c’est pourquoi la science économique paraît absurde.
Tout ça ne peut que mal finir.