@l’auteur,
je reprend point par point et si j’ai bien compris...

 - défauts de contrôle des pouvoirs publics sur les marchés : ça c’est normal puisque les pouvoirs publiques sont incompétents, si ce n’était pas le cas ça se saurait.

 - ce texte n’atteint pas les objectifs visés, par manque d’ambition, de courage et de moyens : là je suis étonné, l’auteur critique ce qui a été élaboré avec tant de soins en écartant tout hypocrisie et toutes faiblesses marque d’un état fort soutenu par une représentation nationale* d’une loyauté indéfectible à l’égard des citoyen l’ayant porté au pouvoir, pour mieux pouvoir le croquer mon enfant.
* avec lobbyisme ?

 - une loi s’applique à tous mais ne se détourne pas : on peut s’assoir dessus ?

 - on crée un conseil de régulation financière et du risque systémique qui va chapeauter les trois autorité administrative qui contrôle les marchés financiers l’Autorité du Contrôle Prudentiel (ACP), l’Autorité des Marché Financier (AMF) et l’Autorité des Norme Comptables (ANC) : ce nouveau conseil (ainsi que les autres) n’est pas le payeur, c’est le citoyen qui racke....

 - les clauses de non-responsabilité sont réputées non-écrites de même que les clauses d’expatriation des contentieux : ça c’est normal, enfin on sacralise l’irresponsabilité et la fuite veule et lâche comme il se doit !

Les ventes à découvert sont interdites : sauf les ventes non couvertes (ce qui n’a rien à voir avec le découvert, vous avez compris ? vous êtes bouchés ou quoi ? et puis il y a des assurances raisonnables (donc sans aucun risque, ce qui est le propre de toute bonne assurance assurée)

extension du métier de brouilleur de cartes : ça va sans dire, c’est l’esprit des lois !(j’en connais un qui doit se retourner dans sa tombe)

les conseillers en investissement financiers doivent se comporter « avec loyauté » : là c’est carrément antinomique de la profession, il faut faire quelque chose, de sorte que les clients de ces professionnels puissent être ruinés sans qu’ils soient inquiétés d’aucune façon.