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Tuas mis le doigt sur un problème réél et d’actualité la Suisse commence à exaspérer ses partenaires, en mettant de la mauvaise fois à appliquer des accords dont elle les a signés
Lors de la visite du président de la Commission Européenne Monsieur Barroso des petites phrases assassines ont été laissées du genre ,
Un pays seul n’a pas d’avenir à l’heure de la mondialisation, a plaidé jeudi à Lausanne le président de la Commission européenne. José Manuel Barroso a aussi demandé à la Suisse un effort pour régler le différend fiscal avec l’UE.
De facto impliquée
La Suisse est un peu un village gaulois mais sans Romains Jose Manuel Barroso Interrogé sur de telles convictions par rapport à la Suisse qui ne veut pas rejoindre l’Union européenne, J.Barroso a relevé qu’elle est « de facto plus impliquée » économiquement dans l’UE que certains pays membres. La Suisse « est aussi plus dépendante de l’Europe », a-t-il remarqué avec le sourire.
« En Europe, il n’y a pas de place pour la discrimination, le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie. »
Dans son discours à l’Université de Genève à l’occasion de la remise du Doctorat Honoris Causa, le Président Barroso a rappelé que « la discrimination, le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie n’ont pas de place en Europe ». Lors de sa rencontre avec la Conseillère Fédérale Calmy-Rey il a souligné l’importance des relations avec la Suisse tout en disant que la voie bilatérale est épuisée. Il a plaidé en faveur de solutions dynamiques concernant les questions institutionnelles et horizontales.
Notamment nous devons progresser sur les aspects horizontaux et institutionnels suivants :
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adoption de nouveau acquis et sa mise à jour dynamique
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mise en œuvre uniforme et harmonieuse ; surveillance de l’application de l’acquis dans un cadre institutionnel
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adoption de la jurisprudence européenne
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règlement des différends