Plait-il ?
Décryptons cet appel au secours à-fleur-de-peau-esque d’un sujet que rien cliniquement parlant et sans préjuger de l’avis des éminents confrères ici présents, ne prédestinait à de telles extrémités si au-delà-esques du mur du son et de la vallée du décibel.
Bien évidemment, je suppute que pour démêler l’écheveau et les cheveux hirsutes du dit braillard, il faille commencer par décoder voire démythifier autant que désacraliser l’expression borborygmée par Monsieur et qui bien que très claire exige que nous pénétrions l’essence même du cri contenu et contenant, pour tenter tel le diable sa brebis, vaille que vaille et tout pré-diagnostic aussi impatient soit-il, mis de côté, d’éclaircir les sentiers d’une analyse qui s’annonce kafkaïenne et de complexité absconsique et quasi-occulte.
Sans omettre évidemment l’enfance de l’art portant sur le véhicule, il ne s’agirait en effet pas d’apprendre le Kabyle à un turkmène. Mais patience chers amis avant d’aller plus loin dans cette aventure de l’esprit entre esprits supérieurs (et qui s’habillent chez le bon faiseur … eux), essayons d’atteindre de meilleurs cieux de niveau d’information en glanant (oh inutile d’espérer plus), quelques données brutes de la brute elle-même :
Hum ! Allo allo, un deux, un deux
Puis-je m’enquérir du motif saugrenu et hors de propos de ces majuscules et des décibels qui vont avec… Et à la Sisyphe d’antan ... Mon brave !