@ jaja,
Ah non pas vraiment, il sagit de la frange de population constituée de classe moyenne haute et de bourgeoisie qui a voté PS, écolo, anarchiste, d’inspiration « gauchiste » même s’ils ne savent ce que c’est. rappelez-vous de ces gens qui ont soutenu Cohn-Bendit lors de sa révélation sur ses gout à propos des petits enfants. Rappelez-vous des votes en faveur du oui pour le referendum, regardez qui vit à Paris dans les quartiers huppés tout en prétendant voter en faveur du progressisme. Ecoutez parler les cadres d’entreprise se vanter d’étre de « gauche » tout en débauchant les ouvriers et les employés.
Effectivement, il y a beaucoup de cadres mais aussi des pseudo-professions qu’eux-mêmes ont des difficultés à classer et qui ne vivent que sur le dos des contibuables ou des entreprises. Il est vrai que la fibre sociale est absente chez ces gens-là et cela rend leur auto-dénomination encore plus hypocrite et odieuse que la droite traditionnelle qui ne masque pas ses ambitions.
On peut les voir dans des manifestations mais pas trop longtemps et ils se délasseront dans un café bobo ( cher pour une qualité médiocre, le bobo ne regarde pas à la dépense pour sa petite personne). Ceci dit, la plupart des manifestations ne sont pas trop loin de chez eux : ils peuvent revenir le soir sans problème de transport contrairement aux travailleurs mécontents ( les vrais) qui se retrouveront à poireauter au bas mot quatre heures dans les transports en commun.
Enfin, le bobo est relativement en sécurité financièrement parlant : papa, maman, qui ont payé les études voire le logement, trouveront toujours des fonds pour alimenter la vie dispendieuse et bien inutile des ces gens-là.
En fait, le bobo est le larbin des « zélites ». Prêt à tout pour augmenter son confort personnel, incapable du respect d’une morale quelconque, il ne respecte la loi que parce qu’il en a peur et la défie uniquement lorsqu’il sait qu’elle ne s’appliquera pas pour lui. En fait, il est l’un des visages des ennemis des travailleurs : celui du traitre.