« La géographie ici - ne serait-ce que par la lecture des paysages – c’est cette oscillation entre ce qui compose l’espace vécu et la propension utilitariste à innerver une correction progressiste de ce qui est pour ce qui devrait être, par l’aménagement du territoire. Mais en vérité, il y a ici une tyrannie de l’existant comme lecture à la fois d’un passé reconditionné par les discours et point de départ à l’apologie du »portrait d’une France« qu’il faut prendre telle qu’elle est et nous dedans. »
???
Après vous avoir lu, sans être bien certain d’avoir tout compris, je suis allé voir votre blog, par curiosité.
Aucune image ou si peu !
Du texte triste, sûrement très intelligent, alignant des références, décortiquant avec application le moindre événement, trouvant partout du signifiant et de l’insignifiant.
Je cherchais à savoir si nous avions bien vu la même exposition de Depardon ?
Si vous aviez bien vu des photos, du visuel, des images. Avec des formes, des couleurs, des équilibres. Et pas seulement un thème de réflexion.
Je me demandais même si vous n’étiez pas aveugle, ou mal voyant peut-être ?
Ce qui pourrait alors expliquer que par une lecture en braille des immenses photos de Depardon elles vous soient apparues si proches de votre imaginaire, et si éloignées du mien.