Quitte à me répéter, mais cette parodie d’une chanson de Brassens est amusante, non ? 
Nouvelles stances à un cambrioleur
novembre 22nd, 2010
Prince des espions et de la cambriole
Toi qui n’eus pas le bon goût de choisir ma maison
Cependant que je colportais mes gaudrioles
En ton honneur j’ai composé cette chanson
Sache que je déplore ce mépris manifeste
Du contenu d’mon disque dur pourtant très important.
Toi qui chez les journalistes montras ta patte leste,
Tu dédaignes ma personne et c’est désobligeant.
Tu as sans doute jugé que je n’valais pas cher.
Délaissant dédaigneux l’implacable portrait
Que je cache de toi dans mes petites affaires.
Quel bon critique d’art mon salaud tu ferais
Autre signe indiquant tes incursions avares
Méprisant le courageux blogueur tu n’as
Pas cru bon de venir chercher au fond de ma guitare.
Tant de négligence confine à l’artisanat.
Pour toutes ces raisons vois-tu, je ne pardonne
Pas l’oubli de mes informations première main.
Ce que tu ne m’as pas pris, mon vieux, je te le donne
En espérant quand même ta visite demain.
D’ailleurs moi qui te parle, avec mes chansonnettes
Si je n’avais pas dû éviter le succès
J’aurais tout comme toi, pu virer malhonnête
Je serais devenu ton complice, qui sait…
Voris Bian
Derniers albums « Bribes de rêves », « Les Remaniés »