Jymp,
Qu’est-ce qu’un ville ?
Wiki dit : « étendue et fortement peuplée (dont les habitations doivent être à moins de 200 m chacune, par opposition aux villages) dans laquelle se concentrent la plupart des activités humaines : habitat, commerce, industrie, éducation, politique, culture. »
Le problème, cela devient vite une mégapole. J’ai parfois peur de parler de ma ville de peur d’attirer trop de monde. Elle reste à dimension humaine, mais il ne faut pas trop espérer.
« interdire la mendicité »
Je me baladais, hier, en ville et oui, il y en a aussi. L’interdire alors qu’aujourd’hui, il y a de plus en plus de personnes de la classe moyenne qui perdent leur emplois et leur logis et deviennent SDF. Je dis que cela fait partie de rêves perdus qui n’auraient que des gens avec une instruction sans failles dans un plein emploi. Et cela....
"...berge à Paris : moches, sales, bruyantes, anti
romantiques : ouis, dix fois oui. Vais- je me féliciter comme touriste
de pouvoir me promener en bord de Seine : oui, cent fois oui.«
L’année passée, j’ai joué le guide de Bxl pour des Suisses. La première chose que j’ai dit : »attention, la ville de Bxl n’est pas propre. Ce n’est pas la Suisse« .
J’espère que ce qui a suivi a pu balancer ce avertissement.
» Les villes ne sont pas uniquement des spots pour touristes.«
Absolument. C’est une environnement où on s’y sent bien en citadin avec tous les inconvénients et les avantages que l’on ne trouve pas à la campagne.
Vieille histoire du »rat des villes et du rat des champs«
» Venise nonchalante faite de seniors
repus et de terrasses de café, de pistes de rollers , de cyclistes
rentiers."
là, vous rêver. C’est une ville que je connais bien, infestée de touristes qui vont jusqu’à creuser les pierres qu’ils foulent. Ce ne sont pas des rentiers, du tout. Des cyclistes, pas vraiment non plus. Je ne m’y verrais pas, découragé de devoir en permanence descendre de selle pour passer les ponts.
’La réalité est tout autre, et ces projets aboutissent
inéluctablement à la boboïsation/ghettoïsation«
Oui, les quartiers sont bien distincts.
»qu’il y a de la place pour
tous sans chercher à« punir » pour le simple fait d’exister ou dresser
des catégories de déplaçants les uns contre les autres."
Je vais vous donner une chanson valable pour tout le monde que j’aime beaucoup.