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Commentaire de Roungalashinga

sur Mishima - Quarante ans après


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Rounga Roungalashinga 26 novembre 2010 11:51

L’amour de la mort, revient souvent a être un instrument de l’élite.

Et ce romantisme, cette chevalerie n’a pas existé que chez les asiatiques

C’est souvent ne pas défendre la cause la plus haute : défendre la vie et la liberté.

La fascination de Mishima pour la mort manifestait bien plus d’élan vital que l’hédonisme morbide qu’on voit se développer aujourd’hui.
La vie n’est pas une question de quantité. Si on sait vivre on sait aussi mourir.

Le reste du commentaire est complétement hors-sujet (! ?).


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