Je comprends votre point de vue, mais les défilés ne changeront rien, il faut passer la vitesse supérieure, sinon rien ne bougera. Ce n’est pas en promenant des enfants dans les poussettes au son de la sono syndicale qu’on changera quoi que ce soit.
Le problème de la mondialisation est justement la mondialisation elle-même. Je ne m’imagine pas un seul instant que le vote d’un seul pays, le nôtre en l’occurrence, fasse bouger une seule ligne de cette aberration mondiale.
Quant au choix qui nous sera offert nous atteignons le ridicule. Être de gauche et voter pour le patron du FMI ou être de droite et voter pour un dangereux malade
Je vous propose une citation d’Eugène Varlin à ce sujet :
« Ne perdez pas de vue que les hommes qui vous serviront le mieux sont ceux que vous choisirez parmi vous, vivant votre propre vie, souffrant les mêmes maux. »
A méditer chaque fois que nous voyons la composition de nos parlements..........
Je l’ai relue récemment dans le livre de Gérard Mordillat « Rouge dans la Brume » qui sortira le 5 janvier 2011. Le personnage principal de ce livre est assez proche de la vision que j’ai de la lutte sociale, radical est un doux euphémisme pour le décrire