Commentaire de Senatus populusque
sur Ruquier, Denisot, Taddeï... Censeurs ordinaires d'une démocratie ordinaire
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Dans la plupart des discussions autour de la liberté d’expression, on bute très rapidement sur la formule « on n’a pas le droit de dire n’importe quoi, de dire des contre-vérités ». Le débat public exige pourtant, pour être démocratique et efficace, que l’on ne fasse pas de la vérité supposée des propos le critère a d’un droit à la parole.
La vérité des propos n’est pas plus le critère du droit à la parole que l’innocence du mis en examen n’est le critère du droit à l’avocat et à un jugement en contradictoire. On n’invoque jamais l’horreur du crime pour supprimer ou limiter ces droits de la défense et le droit à un procès en bonne et due forme ; mais dans le domaine politico-intellectuel, il suffit que des propos soient déclarés « inacceptables » par une petite caste associativo-médiatique qui trépigne son indignation pour que toute argumentation soit abandonnée, et exclue des grands médias.
Derniers commentaires
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10/12 12:12 - debase
Bonjour Je voudrais juste faire remarquer que si l’individualisme nécessite ou implique (...)
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06/12 16:53 - Christoff_M
Citez nous les jours ou vous l’avez vue !! visiblement vous avez pris le soleil un peu (...)
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06/12 16:50 - Christoff_M
et surtout que ce ne soit pas seulement une certaine caste d’« experts » autoprocclamés (...)
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05/12 20:01 - ChatquiChouine
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05/12 19:15 - sahabas
Article pétri de mauvaise foi. Ruquier donne une tribune quotidienne à Zemmour, qui est (...)
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05/12 11:08 - JL
@ Debase, vous dites : « Le Pen contre l’UMPS » ? Je dirais : c’est l’UMPS (...)
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