Chère Roxane,
Ne regrettez rien !
Voici ce que j’écrivais sur l’une de vos interventions hier à 16H07 dans l’espoir que vous la consulteriez :
"Dans le ventre où naissent les petits papiers j’en ai lu deux. L’un est d’une
chinoiserie grandiose et délicieuse. La suite est bienvenue...
L’autre est
une opinion, certes très compréhensible, que, même si j’étais Parménion, je
n’exprimerais pas de la sorte et supprimerais avant publication.
BIen à vous Alexandre !"
J’ai donc cru que dans votre immense sagesse vous aviez suivi le boeuf !
Comme, vous le savez, tous les pharaons, j’en étais un à l’époque je possédais un nom sacré, recu lors du sacre, lequel, comme le baptême, est une mort suivie d’une résurrection. Ce nom pour marquer la perpétuité dynastique divine était toujours Horus. Ce fils dIsis et d’osiris que le livre des morts désigne sous le qualificatif de taureau de l’ouest, dont la particularité était de s’apparenter au boeuf apis qui séjournait au sérapeum de Memphis un dieu qui, comme tous les démiurges antiques y compris celui de la Bible, n’avait pas ou plus de sexe. Couic ! Les balloches étaient entourées de bandelettes et conservées, fort molles dans du bitume de judée, après avoir été désséchées dans un bain de natron pendant 40 jours.
Votre article est bien meilleur aujourd’hui et même encore mieux que celui que j’ai plussé vers 3h30 ce matin. Il y traînait encore, dans une marge, un pensionnaire de l’ile de Ré dont le nom rappelle ce péripatéticien dont nous parlait Aristote, mon prof, quand je suivais ses cours avec Démetrios de Phalère, ce tyran d’athènes qui eut l’idée d’une bibliothèque à Alexandrie. Une des ces villes élevées en mon honneur où il était réfugié chez son pote Ptolémée Lagos, mon lièvre de général, qui y joua les diadoques, après mon trépas et celui de mon fils que porta Roxane.
Allez je m’égare !
Bonne soirée ! Votre Alexandre.