SARTRE est bien surfait.
« Science, c’est peau de balle ; morale, c’est trou de balle » Sartre jeune, d’après Simone de Beauvoir.
« Jamais nous n’avons été plus libres que sous l’occupation allemande. »
« La République du silence », Les Lettres Françaises, 9 septembre 1944 [repris dans Situations, III].
« L’antisémitisme n’est pas une opinion, c’est un délit », Réflexions sur la question juive, 1946. [Prémices du politiquement correct et de la Gayssot attitude. Pour l’historien Jules Isaac, cela restait une opinion].
« Le citoyen soviétique possède, à mon avis, une entière liberté de critique. »
Libération, 15 juillet 1954.
« Le marxisme [...] philosophie indépassable de notre temps », Critique de la raison dialectique, Paris : Gallimard, 1960.
« En ce premier temps de la révolte, il faut tuer : abattre un Européen c’est faire d’une pierre deux coups, supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé : restent un homme mort et un homme libre. »
Préface à Frantz Fanon, Les damnés de la terre, Paris : Maspéro, 1961, page 16.
« Un anticommuniste est un chien, je ne sors pas de là, je n’en sortirai plus jamais. » Les Temps Modernes, octobre-novembre 1961.
« Il y avait un nombre de juifs considérable dans le parti communiste de 1917. En un sens, on pourrait dire que c’est eux qui ont mené la révolution. ». Jean-Paul Sartre et Benny Lévy, L’Espoir maintenant : les entretiens de 1980, Lagrasse : Verdier, 1991, page 70.