@ ena 63
- Il n’y a pas dilemne ! La ploutocratie régnante montre qu’elle a deux fers au feu : DSK ou Sarkozy.
DSK ne peut pas être le dirigeant qui s’opposera aux structures libéralistes qui ont conduit au désastre : il est au FMI pour les défendre. Croyez-vous qu’il changerait d’avis en entrant à l’Élysée ? Je montre dans mon article que son existence est une adhésion à ce type de société.
2- Avouez, d’autre part, cher Ena63,
- qu’un milliardaire a un peu de mal à savoir ce qu’est une fin de mois difficile.
- Inversement, celui qui a des fins de mois difficiles a du mal à imaginer les techniques financières qui permettent de prêter de l’argent qu’on n’a pas pour en gagner beaucoup, comme le font les banques aujourd’hui.
Qui va mettre fin à cette spéculation à « levier », comme ils disent, où l’on peut prêter jusqu’à 20 ou trente fois l’argent qu’on a en caisse et qui a contribué à conduire à la catastrophe qu’on connaît ?
3- Vous reconnaissez enfin que votre comparaison entre la relation professeur/élèves et la relation élu/citoyens électeurs est tirée par les cheveux : elles diffèrent totalement.
- Mon souci comme professeur était « l’élèvation de tous mes élèves » Je suis sûr que vous n’en doutez pas.
- Celui d’un élu, sous couvert de l’intérêt général, c’est le plus souvent « l’élévation de l’électorat de son camp » au détriment de l’électorat adverse.. Paul Villach