re
deux articles qui recoupent ce que tu dis corrigés.
la gouvernance mondiale à laquelle les fous délirant aspirent, ne peut pas exister et elle est « contre nature ».
de plus comme nous ne pouvons rien penser qui ne soit en possibilité d’être, il faut recherche les source de ce désirs.
de fait elle existe déjà c’est ce que certains nomment dieu ou la nature et l’on observe qu’elle avantage la diversité et lorsque une espèce supplante les autres elle meurt sous ses déchets. pour faire une parabole la gouvernance mondiale serait la tête du cancer, une fois qu’elle aurait convertie le monde à son modèle elle mourait.
nos ancêtres qui disposaient moins de moyens technologiques que nous avaient déjà compris cela. les deux symboles en sont la tour de Babel, et la prédiction mortelle de l’avènement d’une seule nation.
je veux bien croire comme je l’écris dans un de mes articles que la technologie nous donne les moyens d’envisager la modification de l’humain, mais si cela se produit ce nesera pas de la volonté des hommes (excuse moi de ne pas développer pourquoi ce serait long), mais parce que les événements antérieurs dont nous avons été les acteurs y contribuent, et que cela s’inscrit dans une perspective de l’évolution du vivant dont nous ne comprenons que ce qui est accessible à notre raisonnement, en laissant de côté des milliard d’autres indicateurs que nous traitons inconsciemment. il y a là un rapport de vitesse de la circulation de l’information ce qui a fait dire à T. Monod que l’humain et un être lent. nôtre vitesse neuronale tourne autour de
1,75 à 2,22 m/s, or avec nos technologies nous pouvons traiter l’information plus vite que l’humain, ce qui nous pose déjà des problèmes.
pour devenir des dieux il nous faudrait arriver à comprendre comment des « forces » s’assemblent pour donner de la matière organique physico chimique, pour donner de la matière biologique, et en tout état de cause ce ne serait qu’u élément du tout.
alors oui tu as raison de souligner la fracture intellectuelle dans laquelle nous sommes, et je me suis permis d’ajouter le délire dans lequel nos dirigeants se situent, nous qui les prenons pour des gens capables.. il serait tant que les philosophes retrouvent le droit de parler devant des gens qui croient dur comme fer que c’est en aggravant la maladie que l’on se soigne, parce qu’ils ont un jour appris à compter......
cordialement.