Commentaire de Emile Mourey
sur Le coq gaulois : oraison funèbre
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Dans la littérature, l’oraison funèbre est une des formes les plus hautes de l’éloquence. Elle existait déjà dans l’ancienne Egypte, se perpétua dans le monde grec puis romain. César eut droit à son oraison funèbre, et aussi Louis XIV. Le genre tomba ensuite en désuétude. C’est Malraux qui, brillamment, réveilla la coutume en faisant l’éloge de Jean Moulin, lors du transfert de ses cendres au Panthéon.
Derniers commentaires
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15/12 20:55 - octavien
Enfin, je suis déolé pour vous mais la bourgogne n’est pas la source de notre histoire. (...)
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15/12 20:47 - octavien
Mais M Mourey comment pouvez-vous envisager que Julien puisse figurer sur le chapiteau (...)
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15/12 15:34 - Albar
Malheureusement, ce coq là se dore en rotisserie sous les douces flammes d’un chandelier (...)
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15/12 00:25 - Emile Mourey
@ Octavien Désolé ! Les Parisii étaient unis jadis avec les Senons dans une même cité (DBG (...)
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14/12 23:37 - octavien
M Mourey Sur le premier point je voulais souligner que l’histoire de la gaule et (...)
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14/12 22:45 - Emile Mourey
@ Verdan et @ Jacques Merci ! Ce que j’écris n’est pas un plat réchauffé, ni en (...)
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