Une présentation de 10 « Commandements » qui aident à imposer aux gens une société qui les prive de leur libertés en les empêchant de s’en rendre compte par exemple en détournant leur attention sur des sujets futiles ou en leur faisant croire que ce sont des mesures nécessaires pour les protéger, tout en causant sans le montrer ce qui nécessite ces mesures de protection.
S’adresser au public comme à des enfants en bas-âge
Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus.
Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts.
Le système en est arrivé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.
Source Noam Chomsky
Ces manipulation des masses qui ont étées appliquées au niveau mondial expliquent facilement l’Etat d’esprit qui règne actuellemnt sur tous les citoyens de tous les pays
c’est bel et bien le NOM qui est en marche et que nous avons accepté pour la majorité des peuples.
« La conscience est la lumière de l’intelligence pour distinguer le bien du mal. »
Confucius
1. Le conducteur égoïste tourne sans mettre son clignotant. Il choisit de prendre le risque de voir la voiture de derrière lui rentrer dedans car il a freiné pour tourner, sans prévenir évidemment, puisqu’il n’a pas mis son clignotant. Il pense qu’il est seul sur la route et que ceux qui le suivent ne sont que des extra-terrestres extra-lucides et voyants. Ce qui est sûrement vrai parfois car sinon il y aurait plus d’accidents.
2. Le conducteur égoïste se rabat sur l’autoroute sans penser que vous existez vraiment. Cette fois, le conducteur égoïste pense que vous êtes une voiture fantôme, à travers laquelle on peut passer sans se blesser ni ressentir de choc. Vous freinez brutalement quand il se rabat sur vous, vous faisant une queue de poisson. Vous faites des appels de phare indignés mais... il ne vous a toujours pas vu. Vous êtes vraiment un fantôme !
Quelques conseils pour rouler sur routes enneigées :
Si possible, testez l’adhérence dans un endroit dégagé en donnant des petits coups de frein ou des petits coups de volant. Vous pourrez mieux sentir les limites de la voiture et adapter votre conduite.
Evidemment, réduire la vitesse et allonger considérablement vos distances de sécurité ! Les distances de freinage deviennent très longues.
Les côtes : essayez d’emmagasiner un peu d’élan pour affronter les côtes sans patiner. Si cela arrive tout de même, essayez de ne pas vous arrêter sans quoi vous risquez d’être scotché ou même repartir en arrière ! Relâchez un peu les gaz pour ne pas trop patiner.
Freinage :
Appuyez toujours en douceur et progressivement sur la pédale de frein dans les cas de freinage normal, même si votre voiture est munie de freins ABS (dispositif antiblocage). Si vos roues se bloquent, relâchez un peu le frein.
En cas d’urgence à bord d’une voiture munie de freins ABS, appuyez brusquement sur la pédale de frein et maintenez-la enfoncée, tout en débrayant. N’oubliez pas qu’une voiture munie de freins ABS peut aussi contourner de nombreux obstacles durant le freinage. Dans la mesure du possible, contournez les obstacles au lieu de freiner.
Utilisez au maximum le frein moteur, mais attention aux rétrogradages trop brusques qui risquent de déséquilibrer la voiture.
Prise de virage : freinez AVANT le virage (sinon c’est tout droit direct !), tournez doucement le volant et maintenez une vitesse constante pendant le virage. Réaccélérez seulement à la sortie.
En cas de perte d’adhérence de l’avant lors d’un virage : relâcher l’accélérateur pour mettre plus de poids sur les roues avant
En cas de perte d’adhérence de l’arrière lors d’un virage : si votre voiture est une traction, réaccélérer en contrebraquant pour rétablir l’équilibre. Si c’est une propulsion, la situation est plus délicate : si la glisse est déclenchée par trop d’accélération, relâchez un peu les gaz. Sinon, accélérez légèrement pour transférer le poids sur les roues arrières.
En cas de glisse incontrôlée, essayez de ne pas fixer l’obstacle que vous risquez de taper, mais là où vous voulez aller.
Les boîtes manuelles sont plus efficaces sur neige/glace car elles permettent de mieux gérer l’adhérence. Sur les voitures automatiques, passez en vitesses séquentielles (à moins qu’il existe un mode spécial neige ?) et redoublez de vigilance.
Anticipez les variations d’adhérence : une route à l’ombre ou peu utilisée risque d’être plus verglacée.
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Attention : sur la neige, les grosses voitures à pneus larges et à forte inertie sont défavorisées par rapport aux petites voitures à pneus fins contrairement aux idées reçues. Sur ces dernières, le poids est réparti sur une plus petite surface, ce qui lui donne plus d’adhérence.
Pour ceux qui possèdent un ESP (correcteur de trajectoire) : dans certains cas il peut être préférable de le déconnecter, si vous êtes dans l’obligation de patiner pour avancer ou bien si vous vous sentez simplement plus à l’aise sans. Cependant, la plupart des ESP récents sont efficaces sur la neige. En revanche, s’il est branché, évitez de contrebraquer si votre arrière glisse, sans quoi vous risquez de l’affoler et d’avoir un comportement inattendu de la voiture !
Vous l’aurez compris, tout est une histoire de bon sens, de douceur et d’anticipation.
Bonne route.
Il y a aussi les autoreoutes qui sont des pièges a gogos, autoroutes que nous avons déjà largement payées avec nos impôts et qu’on nous fait cracher au bassinet aux péages comme au Moyen âge la gabelle où autres......-
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