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Commentaire de Marc P

sur Jeunesse européenne : une contestation culturelle mais sans issue


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Marc P 16 décembre 2010 13:45

Bernard, il serait injuste de ne pas rappeler cette information qui donne du baume au coeur (grève des étudiants Normal Su pour la défense d’agents de leur école qui touchent mojns qu’eux) :

http://forummarxiste.forum-actif.net/syndicalisme-et-mouvements-sociaux-f6/des-etudiants-bloquent-normale-sup-pour-defendre-les-salaries-en-cdd-t509.htm

Ensuite même si le système du financement des études en Angleterre est anxiogène et donc inacceptable, il faut en nuancer le caractère prohibitif, je le redis décevantau demeurant :

« Mais depuis septembre 2006, les universités anglaises et d’Irlande du Nord ont la possibilité d’appliquer des frais de scolarité pouvant aller jusqu’à 3000 livres sterling (environ 4 400 euros). A ce jour, la plupart des universités ont opté pour le plafond maximum, lequel devrait rester un maximum au moins jusqu’à 2010. Une commission indépendante sera alors invitée à faire un rapport au Parlement pour décider de lever ou non le plafond.
Dans le même temps, les étudiants n’ont plus à payer leurs frais universitaires avant ou pendant leurs études. Ils peuvent, à la place, emprunter le montant nécessaire couvrant leurs frais de scolarité auprès de la Student Loans Company (SLC), un organisme gouvernemental qui s’occupe de reverser directement la somme à l’université concernée. Le taux d’emprunt est relativement bas (aligné sur l’inflation) et les diplômés commencent à rembourser la somme due que lorsque leur salaire dépasse 15 000 livres par an (environ 22 000 euros par an), à hauteur de 9% du montant de leur salaire (soit, par exemple, 165 euros par mois pour un diplômé qui gagnerait 22 000 euros par an). En échange de cette nouvelle source de revenus, les universités doivent consacrer une part plus importante de leurs ressources à la distribution de bourses, attribuées sur critères sociaux. »

En france, tant que les élites (ou leurs enfants) ne seront pas exposés à la précarité, ils entrediendront le système que nous connaissons et qui les confortent dnas leur condition de privilégiés... (études, travail, réseau, carnet d’adresse...)

Cdlt.

Marc P



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