Votre thèse serait convaincante si :
1) les populations dans le monde étaient économiquement et donc politiquement indépendantes
2) Les nations étaient définitivement définies, sans conflits ethniques internes possibles
3) Les frontières étaient toutes acceptées et par tous sur la plan international.
4) La question écologique, par nature internationale, n’existait pas
5) La terrorisme international n’existait pas
6) Les armes de destructions massives et le danger d’extermination de l’humanité n’existaient pas
Autant dire que ce n’est pas demain la veille, et encore moins aujourd’hui que hier, que votre utopie de frontières, par elles-mêmes, pacifiées et pacifiantes dans la cadre d’une souveraineté nationa(iste) absolue sera pacifique.
En attendant, je le signale à la fin de mon article, il vaut mieux, pour préserver la paix internationale faire l’éloge de la coopération transfrontière, voire de l’intégration pacifique et juste dans un cadre qui les fasse progressivement disparaître (ex : l’Europe) que de vouloir réhabiliter des frontières en voie pacifique de disparition, tout en insistant sur le fait qu’il faut maintenir la reconnaissance internationale des frontières historiques existante en cas de conflit ou de menace pour la paix.
Question subsidiaire : Quelle frontière au Moyen-Orient faut-il défendre pour rétablir la paix et qui peut le faire ?
Les frontières définies par l’ONU...qui établit la condition d’une cohabitation nécessaire entre juifs et musulmans ou arabes en Israël même et dans la région.