@ Sylvain Reboul
1)
les populations dans le monde étaient économiquement et donc
politiquement indépendantes
Si les populations dans le monde
sont économiquement et donc politiquement dépendantes les unes des autres, c’est
du fait de l’action économique due au libéralisme capitaliste, à l’action
délibérée d’agents se situant au dessus des états (FMI, Banque Mondiale, OCDE, UE,
etc.), qui ont imposé ces politiques de dépendances. En imposant une
surproduction et des monocultures dans certaines zones du monde, tout en
limitant, voir interdisant la production nourricière, ces institutions ont donc
empêché - délibérément - les peuples de réaliser leur indépendance économique.
2)
Les nations étaient définitivement définies, sans conflits ethniques internes
possibles
Les plupart des conflits ethniques
que connaissent certaines nations sont le plus souvent créées artificiellement
par les agences secrètes des gouvernement dominant, car ces conflits font le
jeu de leur politique, en leur permettant, sous divers prétextes, y compris
« humanitaires », de se mêler des affaires des autres. Ces conflits
trouveraient naturellement leurs issues si ils n’étaient pas continuellement
alimentés, comme on alimente un feu pour qu’il dure. Qu’on cesse de les
alimenter, et qu’on isole les protagonistes, et je ne donne pas 10 ans pour que
ces conflits trouvent une solution.
3)
Les frontières étaient toutes acceptées et par tous sur la plan international.
La plupart des frontières sont
acceptées et reconnues internationalement. Il ne demeure guère que quelques
zones où ce n’est pas le cas.
4)
La question écologique, par nature internationale, n’existait pas
La question écologique peut trouver
réponse aux questions qui se pose sans devoir nécessairement imposer un Etat
Mondial. Des compromis et des accords mutuellement avantageux peuvent être
trouvé entre nations, pour autant que ces nations se respectent les unes les
autres, en dépit de leurs différences culturelles, et pourvu qu’aucune ne
cherche à utiliser cette question écologique pour tirer la couverture à elle.
(suite >>>)