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Commentaire de thaumaetopea

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thaumaetopea 30 décembre 2010 09:35

En matière de cinema :

Reste la catégorie des pompes éhontés (C’EST A DIRE SANS MÊME UN CREDIT AU GENERIQUE)... captation ... ? vol ... ?

les deux grands spécialistes étant à mon sens Chaplin et Woody Allen.

Chaplin :

Dans la ruée vers l’or (1925) la danse des petits pains, pompée à un film de Buster Keaton « Fatty chez lui ».

Dans la ruée vers l’or toujours, le gag de la ficelle-ceinture qui se trouve être la laisse du chien, pompée à un court métrage d’André Deed dit Boireau, auteur burlesque Français. N.B. Chaplin connaissait bien les burlesques Français qui l’ont beaucoup « inspiré ».

Dans Les lumières de la ville, le sketch de la statue, pompé plan par plan à « L’Inauguration de la statue » de Max Linder (autre grand burlesque Français).

Dans les temps modernes (inspiré fortement de « à nous la liberté » de René Clair- Il y avait eu procès) la scène ou Charlot est « avalé » par la machine est pompée au court métrage « Les menuisiers » de Stan Laurel.

Tout le scénario de « Monsieur Verdoux » est d’Orson Welles simplement cité au générique …

W.Allen

(déjà très influencé par Shakespeare, Tolstoi, Bergman et ... lui même) :

La rose pourpre du Caire (son film préféré) qui doit toute son idée et c’est pas rien, au Sherlock Junior de Buster Keaton.... qui n’est plus là pour gueuler.


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