Morice, je viens de lire l’article de ce « Edouard » et je n’y ai vu aucune des intentions que vous lui prétez. Je vois un article écrit sans langue de bois à propos d’un phénomène de société vu depuis l’intérieur du milieu « branché ». Le type test la drogue en question (libre à lui) pour se faire une idée, parle avec les autres consommateurs puis avec son pote des stups mais à aucun moment il n’encourage à consommer.
D’ailleurs la conclusion de l’article ferait plutôt penser le contraire (je constate d’ailleurs que vous l’avez omise dans votre pamphlet, un oubli sans aucun doute) :
Extrait :
La soirée tire à sa fin. Un type, ivre mort en plus d’être méphédroné,
fait une sorte de déclaration d’amour à sa copine puis, emporté par son
élan lyrique, renverse un cendrier, casse un verre, s’étale sur le tapis
pour enfin aller vomir dans les WC. Comme la plupart des drogues, la
méphédrone a donc des désagréments autrement violents que le simple
accès de « tchatche ».
Les autorités sanitaires décrivent les nombreux contre-effets : "La
prise de méphédrone est généralement suivie d’une phase de descente
décrite parfois comme violente, associée à des maux de tête, des crises
d’angoisse et de paranoïa. Sont également observés des nausées, des
vomissements, des hallucinations, une irritation nasale, une
constriction des vaisseaux périphériques et un bruxisme
Je finis par dormir sur le canapé. J’ai très soif durant cette courte
nuit et m’enfile une bouteille entière de Perrier citron. Je me réveille
la gueule enfarinée. Je m’aperçois avec soulagement que j’échappe
toujours à l’effet supo et à la crise d’angoisse. Pas dit pourtant que
j’aurais envie de me reprendre pour un cactus de si tôt. (grincement des
dents)« , précise le ministère de la santé.
J’encourage ceux qui viendront lire l’article de Mr Morice à bien prendre le temps de lire l’article »d’Edouard" avant de moinsser ou plusser, je pense que son interprétation de ce texte est sujette à caution.