bonjour péripate
bien surpris de te voir citer proudhon.
dans une société ou la vie dépend de la capacité à fournir un travail pour trouver l’estime de soi et se classer dans l’échelle sociale, ne pouvait échapper à proudhon et donc reconnaitre que toute assistance est dégradante, son appréciation se comprend, mais dans l’article il ne s’agit pas de cela, mais d’envisager comment faire vivre 9 milliard de personnes quand le travail n’en occupera que 2.
en dehors des discutions de formes la problématique reste celle-ci.
née d’une problématique...
En 1982 durant mon activité de militant, j’en
retirais la problématique suivante. Si dans le futur, grâce aux nouvelles
technologies, dix millions de personnes suffisent au fonctionnement de
l’économie, et que l’espérance de vie s’allonge, qu’elle sera la source de revenu des citoyens ?
Cette idée de développement de richesse
intellectuelle, source de revenu individuel direct, me revint à l’esprit.
J’imaginais alors, qu’elle ne devait plus seulement
concerner que les seuls chômeurs, mais elle devait s’étendre obligatoirement à
l’ensemble de la population adulte, active ou non, et cela jusqu’à l’âge de la
retraite.
…pas
si simple…
cordialement et bonne année