@Tetsukos
Pour compléter ma réponse à votre endroit, quelques citations Hitleriennes sur le christianisme (extraits de ses Libres propos recueillis par Martin Broman, 2 tomes parus dans les années 50).
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Le coup le plus dur qui ait frappé l’humanité, c’est l’avènement du christianisme. T1 p.7-8
Le christianisme constitue le pire des régressions que put subir l’humanité. T1 p.312
Si le monde antique a été si pur, si léger, si
serein, c’est parce qu’il a ignoré ces deux fléaux : la vérole et le
christianisme. T1 p.75-76
Du fait de la lutte, les élites se renouvellent constamment. La loi de
sélection justifie cette lutte incessante en vue de permettre aux
meilleurs de survivre. Le christianisme est une rébellion contre la loi
naturelle, une protestation contre la nature. Poussé à sa logique extrême, le christianisme signifierait la culture systématique du déchet humain. T1 p.51
La civilisation a été l’un des éléments constitutifs de la puissance de
l’Empire romain. Ce fut aussi le cas en Espagne, sous la domination des
Arabes. La civilisation atteignit là un degré qu’elle a rarement
atteint. Vraiment une époque d’humanisme intégral, où régna le plus pur
esprit chevaleresque. L’intrusion du christianisme a amené le
triomphe de la barbarie. L’esprit chevaleresque des Castillans est en
réalité un héritage des Arabes. Si à Poitiers Charles Martel avait été
battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à
l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si
fade !) il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette
religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du
septième ciel… Animé d’un tel esprit, les Germains eussent conquis le
monde. C’est le christianisme qui les en a empêchés. T2 p.297
À part quelques culs bénis, je puis dire qu’aucun de mes camarades ne
croyait plus au miracle de l’eucharistie. La seule différence avec
aujourd’hui, c’est qu’à l’époque j’étais persuadé qu’il fallait faire
sauter tout cela à la dynamite. T1 p.314
La calotte ! Le simple fait d’apercevoir un de ces avortons en soutane me met hors de moi. T1 p.311
si je devais mourir aujourd’hui, cela me choquerait de savoir
qu’il se trouve un seul cureton dans un rayon de dix kilomètres autour
de moi. L’idée qu’un de ces êtres pourrait m’apporter le moindre secours
me ferait à elle seule désespérer de la Providence. T1 p.332
Si le danger n’avait pas existé que le péril rouge submergeât
l’Europe, je n’eusse pas contrecarré la révolution en Espagne. Le clergé
eût été exterminé. T1 p.310
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