@cathy30,
« Attention M. Dugué vous filez un mauvais coton, vous allez tomber dans la secte des complotistes »
je me suis fais la même réflexion.
Il semble enfin réaliser que nous sommes prisonniers d’un système qui n’a rien de bienveillant à notre égard.
Tel l’éleveur de moutons qui doit assurer un minimum de santé et de sécurité à son troupeau, le système, tenu par une oligarchie, produit des illusions de bienveillance qui n’ont d’autres buts que s’assurer de notre docilité et de notre productivité.
Plus on produit, plus ceux qui ne produisent rien de concrêt et qui vivent sur nos dos, en ponctionnant la bête, s’enrichissent.
Moins on produit, plus leur revenus s’amenuisent.
Travailler plus, c’est d’abord pour que EUX gagnent plus.
Regardez le niveau de vie des « cadres » des professions non productives (voire parasites) :
Financiers, économistes, fiscalistes, juristes, avocats, politiques, médias, marketing, psychologues, psychiatres (j’exclus du lot les professions à vocation artistique)
1- d’où provient l’argent de leurs larges rémunérations ?
2- à qui ou à quoi sont destinés les « services » qu’ils rendent ?
Sont-ils tournés vers le bien-être des populations ou vers l’intérêt bien compris de ceux qui « tiennent » le système et qui cherchent en permanence à maximiser leurs profits ?
35 h de travail par semaine seraient trop peu ?
Si on ne travaillait (produisait) qu’à hauteur de nos propres besoins, avec les technologies d’aujourd’hui, on n’aurait pas besoin de travailler plus de 20H par semaine.
Le surplus, qui est soustrait sous notre nez, c’est la dîme prélevée par les parasites sur les gains de productivité qu’ils n’ont cessé d’imposer.
Et je ne parle même pas ici du principe de l’argent-dette au bénéfices des banques privées (à nous les prélèvements, à eux la rente)
Quelqu’un l’a fort bien formulé sur le forum du Silence des loups :
ILS NE VIVENT PAS AUX DEPENS DU SYSTEME
ILS ONT CREE UN SYSTEME POUR VIVRE A NOS DEPENDS