Vous dites : "Comment peut on envisager une seconde qu’un français , un italien, un
allemand, un afghan, un suisse, etc... aient le même mode de vie ?
aient les même envies ? etc... Pourtant c’est bien ce qu’on essai de
nous imposer.«
Pas du tout. Ce qu’on essaye de nous imposer c’est une réduction de la population mondiale, ce qui passe par un gouvernement mondial. C’est ce que dit le Dieu Keynes dans la préface à l’édition allemande de la Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie, 7 septembre 1936 (en Allemagne nazie). En 1944 à Bretton Woods, c’est la vision westphalienne de Roosevelt qui prévalu. Nos »économistes" l’oublient souvent (c’est plus facile pour gérer une carrière universitaire).
Vous dites :
"C’est bien effectivement le pôle économique mondiale qui nous
l’impose sous couvert de crises économiques provoquées par ces même
acteurs économique, sous couvert de culpabilisation écologique etc... [...] On ne pourra pas sortir de cette mouvance mondialiste, par
contre on peut l’utiliser pour imposer des droits et des libertés aux
peuples de la terre, utilisons leurs outils contre ceux qui tentent de
nous asservir.«
Là, je suis d’accord. L’écologie est évidemment le cheval de Troie des politiques d’austérité qu’on nous impose et qui mènent inévitablement au fascisme (défini comme la destruction de l’infrastructure nécessaire au développement des hommes et de la nature).
Vous dites : »Prenons le CO2, on nous les cassent régulièrement avec en oubliant de
parler de pollution chimique de notre planète, de déforestation, de
guerre, de famine etc... Poser vous la question du rejet de CO2 par un
tank, un hélicoptère, un porte avion, des camions militaires etc... On
peut en déduire que pour sauver la planète nos dirigeants nous font
payer une taxe sur les véhicules privés mais ne font pas de même avec
les véhicules de l’armée ? de quel droit ? on peut facilement en déduire
que le droit de tuer exempt de polluer !"
Le CO² étant l’élément indispensable à la vie dans la biosphère, on se demande bien comment cette arnaque a pu si bien fonctionner...
Vous dites : "Bref tout ca pour dire que ces masturbations intellectuelles dont
l’auteur de cet article nous fait part, ne sont que de la poudre de
perlimpinpin afin de ne pas se poser les véritables questions : l’argent
doit il être le principal but de nos sociétés ? non devenons tout
simplement « humain »."
Un film sur ce qui secoue les Etats-Unis actuellement et qu’un Barack Obama aux ordres de Wall Street ne veut surtout pas entendre parler.