Entre vos coquilles et vos généralités, je ne décèle rien de nouveau qui ait changé en Birmanie depuis la seconde moitié des années 90.
Daw Suu Kyi appèle toujours au dialogue, tandis que la junte militaire corrompue s’affaire avec les businessmen asiatiques et les compagnies pétrolières occidentales. Pas un mot sur la compagnie Total et son gazoduc de Yadana ?
Depuis que mon ami Aung Zaw (alias Zaw Min) a rencontré le tortionnaire Bush junior à l’ambassade US de Bangkok en septembre 2008, j’ai perdu la foi concernant l’indépendance de la résistance birmane.
La lutte des démocrates birmans recouvrera sa légitimité lorsque nous balaierons devant notre porte.