Il n’y a qu’une seule règle de fonctionnement sur Facebook : ne pas s’inscrire. C’est comme la cigarette : ne jamais commencer ; après, c’est trop tard.
Au moyen du bouton « J’aime » que l’on voit fleurir partout, cette entreprise a réussi le tour de force d’espionner chaque internaute, même ceux qui ne sont pas membre de son réseau.
L’explication technique se trouve ici.
En bref, le code développé par Facebook fait qu’à chaque fois que le bouton « J’aime » s’affiche sur une page, le navigateur envoie à facebook l’URL de la page et un numéro vous identifiant. Bien évidemment, à votre insu.
Quand un webmaster met ce bouton « J’aime » sur son site, il se fait le vassal de Facebook. Qu’a-t-il a y gagner ? Suivre aveuglément un effet de mode, faire branché, au prix de la perte de la vie privée de ses visiteurs ? C’est malheuresuement le cas d’Agoravox.
Ce bouton « J’aime » n’est rien d’autre qu’un spyware. C’est l’œil de Facebook qui regarde là où vous allez.
Si vous voulez préserver votre vie privée, vous pouvez 1) utiliser adblock sous Firefox pour interdire cette URL : http://www.facebook.com/plugins/like.php ou encore mieux, utilisez ce script Greasemonkey. Et 2), paramétrez votre navigateur pour qu’il interdise les cookies du domaine facebook.com.
Il faut combattre les attaques de la vie privée des internautes. Nous avons tout à perdre, rien à gagner.