Commentaire de Jo Gurmall de Stafferla
sur 20 minutes pour la mort, Bilger revient sur le Procès Brasillach
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Non seulement « t’as de beaux yeux » mais tu parles d’or frangine !
Y’en a eu du quidam qu’a même pas eu droit à une seconde de procès avant de morfler une giclée de pralines dans les éponges ! Suffisait d’une présomption de culpabilité« entendez par là » tronche de coupable". On pourrait en citer des hauts faits d’armes de la résistance...
Derniers commentaires
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18/01 10:37 - LADY75
Lady Panam’ approuve : « C’est vrai... Ce qui a fait la fortune de Céline, (...)
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18/01 09:57 - armand
Cela m’amuse de constater combien on encense Céline (et je juge aussi l’écrivain, (...)
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18/01 08:08 - LADY75
Lady Panam’ en rajoute : « Et Philippe Druillet ! Né dans ces années là, et dont Céline (...)
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17/01 21:20 - zarathoustra
Phillipe Bilger, Alexandre Jardin... ou la difficulté à vivre avec le passé de collabo de ses (...)
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17/01 19:55 - LeGus
@tous, « Ainsi, dans l’édition du 6 septembre 1941 Robert Brasillach écrit-il que « la (...)
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17/01 18:25 - Jo Gurmall de Stafferla
A propos de tirailleurs sénégalais, rappelons ces représailles sanglantes des Allemands qui en (...)
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