Commentaire de Peachy Carnehan
sur Marine, c'est fini
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« Parler familièrement des puissants est, comme vous le dites, une manière de nous rapprocher d’eux. de jouer les intimes. »
Exact. Et c’est aussi un moyen de susciter (ou de révéler) une forme de sympathie. C’est d’ailleurs pour cette raison que les gens ont cessé de dire « Nicolas » à propos de « qui-vous-savez ». Maintenant, pour évoquer « l’autre », on emploie des qualificatifs et des épithètes moins cordiaux qu’à l’époque de la campagne présidentielle, comme « le nain », « le nabot », « la crapule », « le traître », « l’usurpateur », etc.
Derniers commentaires
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24/01 23:50 - Sam Lowry
Exact ! Nous sommes à la croisée des chemins. La voie sur laquelle nous sommes engagés conduit (...)
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24/01 21:01 - Traroth
@le-Joker : « Ah parce qu’il est nécessaire d’avoir un mandat pour tremper dans (...)
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24/01 18:52 - charles-edouard
c’est bien de me faire remarquer que je suis un gros nul en orthographe,mais cela je (...)
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24/01 14:33 - Ariane Walter
Cher Charles Edouard, Si vous voulez vous mêler du fond, veillez à la forme : citation pareiLE (...)
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24/01 13:36 - charles-edouard
@ ariane walter « Le public consensuel qui dort pendant les représentations et applaudit à (...)
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24/01 11:06 - cocasse
Si le F.N. était « complice » avec les oligarchies, cela ferait longtemps qu’il aurait (...)
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