Bonjour,
Utiliser une histoire modifiée, travestie, retournée pour argumenter est l’arme des nouveaux sophistes aidés en cela par un nouveau vocabulaire (raciste, xénophobe, fasciste, stigmatisation…) et des politiques douteux ainsi que par des centres d’influence efficaces, coercitifs.
Ainsi, ceux qui dénoncent l’envahissement ne sont pas assimilés à la Résistance face à l’invasion mais bizarrement, par un coup de baguette magique (il n’y a pas de magie, il n’y a que trucs et manipulations), se retrouvent étiquetés collabos et porteurs de toutes les bassesses humaines.
L’histoire plus récente et non falsifiée, nous indique que des peuples de l’autre côté de la Méditerranée se sont levés pour préserver leur identité. Ils ont chassé de leur terre, les criquets installés là depuis des décennies sans se soucier de leur apport dans la construction du pays dont ils donnèrent jusqu’au nom. Les criquets partirent sous la contrainte et dans le dénuement.
Mais aujourd’hui les rôles sont inversés. Les anciens colonisés deviennent invasifs. Et ils exigent que leur identité, leur mode de vie soient reconnus sur cette nouvelle terre au mépris du passé de ce pays, de ses us et coutumes. Et cette terre est la leur disent-ils par le seul fait d’y être installé ! Et malheur à ceux qui prétendent le contraire. La mauvaise foi, ignore l’histoire, au mieux elle l’adapte.
De l’occupation allemande, des mots ou expressions ont marqué les esprits, tels que « Raoust Schnell » ou encore « Verboten ». Aujourd’hui un son nouveau se fait entendre plus sirupeux, plus emmiellé « Salam » par exemple pour débuter un propos, ce qui n’en est pas moins inquiétant.