@ ddacoudre
Vous dites : "il n’y a pas de solution technique, lasolutio ne peut-être que
politique, tant que les états disposeront d’une dette il n’auront aucune
action, le seul moyen d’effrayer les marchéss c’est de reverser cette
peur et de les menacer d’annuler la dette des états, et de leurs
redonner le moyen d’émettre de la monnaie, voirede nationaliser les
banques, il faut bien en sortir.
parfois dans la vie à ne pas vouloir
affronter un conflit ou le reculer est un manque de courage, un signe
de « complicité », d’impuissance, et l’on ne construit rien de solide avec
des gouvernements ou des gens qui ont peur.
je ne pense pas que ce
soit les gouvernements actuels d’europe qui en soient capables, et un
états seul il faudrait qu’il soit costaud«
Les réponses :
1) »La solution ne peut être que politique« : exact : il s’agit de l’imposition (et non la »négociation« MDR) d’un Glass-Steagall Global : un pare-feu entre activités spéculatives et économie réelle
2) Ȏmettre de la monnaie, voirede nationaliser les
banques,« . C’est le principe mis en place - dans des conditions similaires - par Alexander Hamilton, dans la guerre d’indépendance contre le même empire financier britannique : CREDIT PRODUCTIF PUBLIC.
3) »parfois dans la vie à ne pas vouloir
affronter un conflit ou le reculer est un manque de courage, un signe
de « complicité », d’impuissance, et l’on ne construit rien de solide avec
des gouvernements ou des gens qui ont peur.« En mai 2010, les congressistes américains Cantwell et McCain ont proposé un amendement réinstaurant le Glass-Steagall aux Etats-Unis. La Maison-Blanche, aux ordres de Londres, s’y est opposée.
4) »je ne pense pas que ce
soit les gouvernements actuels d’europe qui en soient capables, et un
états seul il faudrait qu’il soit costaud« Exact : de part leur histoire, seuls les Etats-Unis peuvent enclencher le changement, en »reenactant" le Glass-Steagall, ce qui serait suivi par de nombreux pays du monde qui n’attendent que ça.
En France, seul Jacques Cheminade est à la hauteur de l’Histoire, et ce depuis 1995.
Mais nos élus ont peur de se battre : à nous d’être à la hauteur pour leur botter les fesses.