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Commentaire de D’oeuf rance

sur La mort sur prescription


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D'oeuf rance D’oeuf rance 3 février 2011 14:43

Olivier, « certains médecins » ? De ceux qui ont été form(at)és (forme hâtée) durant les, mettons 3 dernières décennies, très rares sont les intacts qui ont respecté ce qu’ils ont signé (le serment d’hypocrate et non le serpent hypocrite). Allons, selon Ghis (c’est bon, mangez-en) :


  • « Si le patient paie, ce n’est pas lui qui décide, mais les assurances privées ou gouvernementales qui prennent notre argent et l’affectent à ce que bon leur semble. Dès que nous confions notre argent à un autre, nous en perdons le contrôle. Ils ont dès lors tout le loisir et tout le pouvoir de faire ce qu’ils veulent avec notre argent. Ce sont eux les acteurs du système et nous sommes devenus les spectateurs passifs et impuissants. »
  • « Le praticien est lui aussi dépossédé de son pouvoir. Lui aussi est réduit au rôle de spectateur passif et impuissant. En effet, le médecin n’a pas accès à l’information médicale et encore moins à la pratique qui lui semble la meilleure pour son patient. Ce sont les autorités, les institutions médicales toutes-puissantes qui décident du type de médecine pratiquée. »
  • « Le patient c’est le client. Il est l’employeur, le payeur, c’est lui qui a le pouvoir décisionnel. Les autres joueurs constituent le corps du système. On parle d’ailleurs de corps médical. [...] En fait nous réalisons qu’il en est tout autrement. Le système est renversé. C’est le patient qui est aux ordres du système de maladie. La bascule du système s’effectue par l’intermédiaire des autorités qui s’immiscent entre le client (le patient) et le corps médical. Les autorités sont un artifice destiné à répondre à des besoins créés artificiellement : sécurité et protection. Elles constituent l’outil de l’usurpation du pouvoir par l’industrie, le paravent derrière lequel l’industrie tire ses ficelles. »

Quand à la recherche (dite) fondamentale, elle échoit finalement aux mêmes « mains » que la recherche appliquée : la recherche « scientifrique ». 
Les chercheurs, spécialisés dans leur secteur, ne contrôlent en rien ce qui est fait de leurs travaux.
Que deviennent les fortunes données à la recherche (télécon et autres) ? Connaissez-vous des « victoires » remportées sur les « maladies » anciennes (cancer) ou plus récentes ( myopathie ; sida (crées en labo) ; maladie « orpheline »=interaction médica menteuse ; staphylocoques en expansion, etc.). Au risque de choquer, depuis longtemps sans illusion sur les apprentis sorciers, je vois que l’argent donné à la recherche débouche sur « l’invention » de maladies plus nombreuses et dévastatrices. Combien de scandales de sang contaminé et de vaccins pourris faudra-t-il avant que les yeux se décillent ? Les vaccins, encore une aberration bien que Pasteur reste un « sauveur » ; cependant cotiser pour « offrir » aux peuples dits sous développés, le miracle de la mort en seringue est encore pris pour une b.a. Quand un peuple est en détresse, genre réfugié, (guerre, catastrophe « naturelle », etc.), le premier geste fait pour eux est de leur donner... des médicaments. smiley

C’est un génocide planétaire organisé, on drogue (aliénation et dépendance), enferme (cobayes sans « statut : sdf, »fous« , vieux...) et tue sous nos yeux et personne n’y croit, ne veut y croire/voir. Qui »savait« avant internet ? Peu de monde (considéré comme des fous : le fou est celui qui a tout perdu, sauf la raison). Aujourd’hui, nous avons des outils mais dire ce qui est n’est pas beaucoup plus crédité. Le mirage de la 5é »république" est la concrétisation du 4é reich. 

« Plus le mensonge est gros, plus il passe. »
[ Joseph Goebbels ] 

« Celui qui peut régner sur la rue règnera un jour sur l’Etat, car toute forme de pouvoir politique et de dictature à ses racines dans la rue. »
[ Joseph Goebbels ] - Extrait d’un Discours 

« C’est l’un des droits absolus de l’Etat de présider à la constitution de l’opinion publique. » [ Joseph Goebbels ] - Extrait d’ Et je cite 




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