bonjour nicolas
un bon raisonnement, d’autant qu’il est complet en se référençant à une histoire peu glorieuse pour les peuples européens
aussi, c’était fabuleux que de vouloir faire de chacun d’eux un élément d’une nation, ce n’était pas sot de les unir autour de ce qui a toujours véhiculé avec le commerce des biens, les hommes, les cultures et les idées.
la monnaie unique n’est pas le problème, elle sert seulement de prétexte, pourquoi la monnaie une ligne virtuelle aurait des effets sur les hommes, chercher à qui elle profite et vous trouverez la source du problème. quand les prix ont flambé au passage à l’euro ce n’est pas la monnaie qui a imprimé les étiquettes.
sauf nous avons fait de l’Europe un grand marché. nous avons même eu la folie de l’inscrire constitutionnellement. comme si nous étions les maitres du monde et qu’il n’y ai qu’une seule manière de commercer, nous ressemblons plus à des obscurantistes qu’à des hommes des lumières

au moyen âge la théologie expliquait que l’univers tournait autour de la terre, naturellement les théologiens en retiraient leur pouvoir.
Aujourd’hui nous expliquons que l’économie ne tourne que grâce au capital, il suffit de chercher qui en retire le pouvoir.
Les critères de convergence sont devenus une stupidité, ils ne sont plus adaptés à la situation présente, mais indépendamment de cela qui ne va faire qu’accroitre les difficultés comme tu l’écris, nous avons fini par regarder l’état comme une entreprise, et nous avons dépossédé, en fait les citoyens du pouvoir que donne la détention de la création de monnaie, soit.
quand il y avait trop de monnaie, c’était la dévaluation qui régularisé aujourd’hui ce sont les bulles qui explosent qui font ce travail( sauf que cette fois ci nous les avons renflouer, ce qui veut dire qu’il faut s’attendre à une autre), alors il n’y a aucune gène à avoir pour détruire de la monnaie puisqu’il y en à en trop et qu’elle ne trouvent pas de financement industriel et va sur ceux financiers, comme la dette des états, alors il n’y a qu’a dévaluer, c’est a dire effacer les dettes, et l’euro perdra d’autant sa valeur.
ou alors il faut aller chercher cette monnaie là où elle a était capté,
car la dette n’est pas dans la poche des salariés, mais dans celles de ceux qui ont reçus l’utilisation de ces sommes, soit directement par l’achat de fournitures de biens, soit indirectement par la consommation de ses agents, c’est à dire les entreprises, ou l’épargne des agent de l’état.

Est-ce que le marché se gène pour contraindre les états, alors pourquoi devrions nous renoncer au pouvoir politique pour s’aligner sur le capital comme le fait notre président.
Que l’Allemagne soit économiquement meilleure que nous ne devrait pas présenter des difficultés.
 Nous avons bien en France un processus de péréquation pour équilibrer les régions et départements, et bien il en est de même avec l’UE, sinon être européen signifie quoi.
Ce que nous vivons une complétion pour conquérir le marché qu’il représente, c’est triste.
Après nous avoir expliqué que le bonheur viendrait avec l’Europe du marché, le président nous explique qu’avec la mondialisation qu’il viendra d’une gouvernance mondiale.
Toi non plus tu ne sors pas des sentiers battus, si tous les états d’Europe se battent pour disposer d’une indépendance économique, cela ne sert à rien de faire une Europe.
a quoi servirait la nation France si tous les départements réclamaient une indépendance économique.
Nous avons donné les reines du pouvoir à des hommes de mains du capital et c’est lui qui dirige.
Reprendre la main exige de recouvrer le moyen de création de monnaie, rôle que peut parfaitement jouer la BCE.

mais ceci dit il n’y aura pas de solution pour autant, ce sera une moins mauvaise, car l’équation est simple, la population croit, elle veut consommer des biens et les ressources minières qui fournissent ces biens diminuent ou ne peuvent pas se renouveler à auteur du désir de consommation, résultat la rareté croit et tous ne pourrons prétendre à un emploi rémunérateur, aussi se pose une problématique si quelques millions d’hommes suffisent a faire fonctionner l’économie, d’où les autres retirerons un revenu.
je donne une réponse à cela, car c’est là que se trouvent les difficultés sa venir, et ce n’est pas le marché qui donnera une réponse, ou du moins nous la connaissons.
 c’est là l’impasse où se trouvent la Tunisie, l’Égypte l’Algérie etc.. ce n’est pas la démocratie ou la redistribution du pécule des nantis qui apportera une solution.
J’explique cela dans deux articles.http://www.agoravox.fr/ecrire/?exec=articles&id_article=86740.
http://www.agoravox.fr/ecrire/?exec=articles&id_article=87951.ddacoudre.over-blog.com.

Cordialement.....