Un autre système, plus équitable, plus juste, plus redistributeur, plus respectueux des droits des citoyens, s’impose plus que jamais, avant la révolte en chaîne des peuples opprimés... ou un ordre de plus en plus policier...
Qui ne serait pas d’accord avec cela ?
Mais hormis de belles paroles, que pourrait promettre le mouvement « alter-mondialiste » ?
Il ne représente aucune force politique, et ses précieuses ONG sont de plus en plus récupérées par les grands requins de la finance, quand ils n’en étaient pas les initiateurs dès le départ !
« Un autre monde est possible », promesse dans le vent, « Un autre monde n’est pas possible » répondent les pouvoirs réels.
Pour qu’un autre monde soit vraiment possible, il va falloir commencer à le bâtir chez soi, avec le maximum d’indépendance et d’autonomie, en agissant là où on en a le pouvoir.
Et pas en bêlant au vent, juste pour tenir le rôle inutile de bonne conscience au mondialisme.