Commentaire de brieli67
sur Quand Steinbeck condamnait... Sarkozy
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cette tirade du « valet » Ruy Blas 1838 déjà.
Car l’Espagne se meurt, car l’Espagne s’éteint !
Ton globe, qui brillait dans ta droite profonde,
Soleil éblouissant qui faisait croire au monde
Que le jour désormais se levait à Madrid,
Maintenant, astre mort, dans l’ombre s’amoindrit,
Lune aux trois quarts rongée et qui décroît encore,
Et que d’un autre peuple effacera l’aurore !
Hélas ! ton héritage est en proie aux vendeurs.
Tes rayons, ils en font des piastres ! Tes splendeurs,
On les souille ! Ô géant ! se peut-il que tu
dormes ? –
On vend ton sceptre au poids ! un tas de nains difformes
Se taillent des pourpoints dans ton manteau de roi ;
Et l’aigle impérial, qui, jadis, sous ta loi,
Couvrait le monde entier de tonnerre et de flamme,
Cuit, pauvre oiseau plumé, dans leur marmite infâme !
Derniers commentaires
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15/02 10:35 - srobyl
JL Merci pour cette rectification. J’imaginais pour le petit nicolas un acte plus adapté (...)
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14/02 09:08 - Fergus
Bonjour, Srobyl, et merci pour votre commentaire. En matière de « dysfonctonnement », Sarkozy (...)
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13/02 20:23 - JL
srobyl, tout à fait d’accord ! Ceci dit, il parait qu’il faut dire « seppuku » ! (...)
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13/02 20:07 - srobyl
Excellent, Fergus. Bravo pour votre persévérance. Il le faut, encore et toujours, face à la (...)
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13/02 12:58 - Fergus
Bonjour, Georges. Si je connais assez bien l’oeuvre de Woody Guthrie (et nettement moins (...)
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13/02 11:22 - Georges Yang
Bonjour Fergus Steinbeck, toujours d’actualité, parlant de la responsablité diluée des (...)
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