bonjour courageux anonyme
sont discourt est connu il y a quelques années en arrière ce même personnage t’aurait expliqué que l’avortement était un crime qu’il fallait chasser jusque dans les familles, comme l’explique aujourd’hui pour d’autres M Bauer conseillé du président.
la misére est un facteur criminogène si l’on se trouve dans une zone concentrationnaire avec une incitation à la réalisation d’un certains nombre de désirs, et pour ce faire il faut que les individus qui franchiront le pas appartiennnet à la catégories des 30% qui osent la transgression.
c’est même personne riche ne transgressent pas, sinon cela voudrait dire qu’il y aurait une catégorie d’humain qui seraient des criminel né, ce qui est une absurdité monumentale.
la pauvreté et généralement soumise au conditionnement sociétal et à la dissuasion, de ce fait ne reste que ceux qui ont la capacité à transgresser( ceux qui n’acceptent pas la résignation.
ce n’est pas plus compliqué, car le crime n’est que social, et culturellement transmissible.
Qu’est ce que signifie « culturellement transmissible ?
C’est le constat que dans la Nature il n’y a pas de notions de délinquance et encore moins de crime. Un animal qui va essayer d’avoir un morceau de la proie que son congénère a chassé, par exemple, n’est en rien un voleur, il essaye simplement de se nourrir dans les conditions du moindre effort (coût/avantage), plutôt que de se chercher une proie et l’abattre ; Mais surtout, il ne tuera pas son congénère pour l’obtenir.
L’humain, en accédant à la conscience, a défini petit à petit qu’un individu n’avait pas le droit d’aller prendre une part de la chasse d’autrui sans son autorisation, sans sa volonté de partager. Et il a convié l’autre à faire l’effort d’aller chasser.
Sauf que ceci exige qu’il y ait une quantité de nourriture disponible pour chaque chasseur. Or, dans notre organisation socio-économique, la « proie » est devenue la monnaie, et quand elle peut être abondante, nous la raréfions pour qu’elle soit désirée. Partant de là, les chasseurs se livrent à une concurrence, et ceux qui ne sont pas assez vaillants ou adroits, peu enclins à l’effort, attardés, malades, handicapés ou d’un tempérament génétique moins adapté à la compétition, seront écartés.
Ce n’est pas pour autant qu’ils n’auront pas faim, et de ce fait, leur instinct de préservation les poussera à rechercher des moyens pour s’approprier la « proie » d’autrui. Mais dans le même temps les autres chercherons des mesures pour les en dissuader.
Partant de là, chacun élèvera sa famille dans des conditions différentes plus ou moins difficiles qui se répercuteront sur leur progéniture. Quelques milliers d’années plus tard, pour réguler tout cela, l’humain a défini une notion de bien et de mal qui condamnait les actes de celui qui volait par exemple, mais aussi invitait l’autre à partager. Ceci sans résultat. De telle manière que ceux qui possédaient des « proies » ont établi une liste de délits et de crimes, ont construit des prisons pour ceux qui enviaient les proies dont ils estimaient être les propriétaires. Les mêmes prisons également pour ceux qui, conscients de ces inégalités, prônent des solutions de modification de ce scénario pour que l’on puisse nourrir ceux qui sont écartés par la concurrence ou en organisant pour eux des actions de solidarité sociales pour les nourrir et leur apprendre à chasser « des proies ». Et nous sommes dans ce schéma réducteur depuis des millénaires. Cette quête de la « proie » est structurée aujourd’hui par la division du travail et la mobilité, à partir desquels, des groupes vont se stratifier socialement. Ceux qui appartiendront aux groupes qui se trouvent « écarté ou plus faibles, moins méritants, et qui au grand désespoir des autres groupes ont faim et ne se décident pas à vivre les difficultés de leur existence, utiliseront les faiblesses des autres ou leurs points sensibles, pour s’approprier les biens qu’ils désirent, voire utiliseront leur faculté à se regrouper s’ils sont suffisamment nombreux, voire se laisseront aller. C’est dans ces groupes tenus à l’écart de la chasse à la « proie » que les structures organisatrices, discipline, obéissance perdront de leurs efficiences. C’est des difficultés inhérentes de ces groupes à vivre leur mise à l’écart que se développeront toutes les formes de transgressions, et ils les répercuteront sur ceux qui les partagent ou naissent dans leurs conditions. Et chacun peut comprendre que l’on peut leur apprendre à chasser, s’il n’y a pas de « proie » disponibles, ils chercheront toujours à aller prendre celles des autres qui s’en défendront.
C’est en cela que
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cordialement
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Cher Yves Serre, vous dites vraiment que de la merde ! Imbécile d’inculte (...)
22/02 03:32 - RogerTroutman
21/02 21:03 - franc
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21/02 17:23 - Yves Serre
bonjour Marc Gelone, « Et il n’y a pas de compromis possible. » Que voulez vous dire ? (...)
20/02 23:03 - epapel
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