Pouvons nous accepter dans le debat democratique francais des candidats qui ont ete si objectivement complice des dictateurs socialistes sanguinaires d’Egypte, de Tunisie et de cote d’Ivoire ?
C’était le 18 novembre 2008 à Carthage en Tunisie.
Ben Ali décorait DSK des insignes de grand officier de l’ordre de la
République. Le président tunisien vantait alors ses grandes “qualités
intellectuelles“.
Empreint de perspicacité, le directeur du
FMI encensait une “politique économique saine” et un “bon
exemple à suivre“. “En Tunisie, Les choses continueront de
fonctionner correctement.”, déclarait-il publiquement.
Et
pourtant…
Le 6 juin 2008 à Redeyef, à 350 km de
Tunis, les forces de l’ordre tunisiennes avaient ouvert le feu
contre des manifestants, faisant un tué âgé de 22 ans et vingt-deux
blessés. Depuis 2 mois, des centaines de personnes manifestaient
contre le chômage, le coût élevé de la vie dans la région et aussi
contre la corruption et la main mise du clan Ben ali sur les richesses
issues de l’exploitation des mines de phosphate
Les
premières émeutes de la faim avaient eu lieu près de 8 mois avant la
venue du directeur du FMI en Tunisie. DSK ne pouvait pas l’ignorer !!!