Voilà un sujet très interessant, qui montre bien comment l’islam politique peut grignoter du terrain en n’ayant l’air de rien et en culpabilisant ceux qui osent lui dire non.
Une petite place pour la prière ? Une petite place pour respirer ? Une petite place pour Dieu entre deux dossiers ... cela parait si peu de chose. Qui aurait le coeur le dire non, à part un méchant fasciste nauséabond qui nous rappelle les zeures les pls sombre ... air connu.
En réalité, l’objectif est de réorganiser le temps de travail autour des besoins de la communauté revendicative et privilégiée.
On sait en effet que les prières musulmanes sont à heures fixes. Aux prieurs de rue de la rue Myrrha, il a été maintes fois proposé des places dans maintes mosquées vides durant la quasi-totalité du vendredi. Mais non ... l’heure officielle de la prière, celle où elle marque le plus de points dans les comptes avec Dieu, est déterminée ; même si, le reste du temps, la mosquée est vide, on n’y casera pas deux fournées de prières. On préférera obtenir une deuxième mosquée du contribuable koufar.
En plus d’être à heure fixe, la prière est longue : ablutions, etc ...
Sans compter les revendications liées à la « pureté ».
Bref, compter une bonne demi-heure de perturbation de l’entreprise pour chaque prière, aux heures que les prieurs décident.
Pour le ramadan aussi, c’est à date fixe, et c’est tout un mois.
Comment faire si l’entreprise a des contraintes durant ces plages de temps qui peuvent aller de la demi-heure répêtée (prière) jusqu’au mois ?
He bien, c’est très simple : il ya les koufars, ces êtres inférieurs, qui sont là pour servir de variables d’ajustement.
Déjà, pour le ramadan 2010, qui tombait au mois d’aout, de nombreux salariés non musulmans ont du renoncer à prendre cette période congé que tous préfèrent : priorité à leurs pieux collègues muzz.
Pour les prières quotidiennes, pareil. Les urgences tomberont sur les koufars.
D’ailleurs, en pays de charia, ils ont vocation à avoir un statut inférieur. Dans ce contexte, rien d’étonnant à ce qu’ils servent de variable d’ajustement.
On le voit, sous des prétextes doucereux et gémissants (ô les méchants racistes qui empêchent un humble et doux croyant de faire ses dévotions ....), il s’agit de mettre en place une société à deux vitesse dans laquelle les musulmans, conformément à la charia, ont la suprématie.