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Commentaire de desmotscratie

sur Askolovitch, l'homme qui faisait son beurre sur l'antisémitisme


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desmotscratie 5 mars 2011 05:10

Ce même Askolovitch qui un jour d’octobre 2009 revint halluSiné d’un G20 où il avait vu le Christ, où tout comme, puisqu’il y rencontra le maitre du monde en la personne de ... de ... vous l’aurez deviné : Nicolas Sarkozy !!

Pour éclairer la psychologie de cet histrion à qui le sobriquet de peigne-cul convient si bien, souvenons-nous que, du temps où il sévissait encore dans les colonnes de Marianne, il fit part dans une émission vespérale de RTL de son irrépressible coup de coeur pour le directeur des arènes de Nîmes de l’époque. La raison de cet entichement remplit d’admiration : un jour cet homme, sous les yeux éberlués d’amour de notre éphèbe en quête de virilité, se leva de son siège en pleine corrida, entre deux mises à mort on peut supposer, pour aller déposer son poingt sur la figure d’un inconvenant qui je ne sais plus en quelles circonstances, lui avait manqué de respect !!

Il semblerait que Claude Askolovitch ait un besoin prononcé de reconnaissance ! Au poin(g)t de s’identifier à des personnages virils à qui il prête un fort panache, panache dont il espère s’envelopper en se joignant lui-même aux croisades chères à ses maîtres ! Askolovitch (auto)promu gardien du temple, débusquant diligemment toute supposée intrusion des barbares ! Tel un de ces bons nouveaux chiens de garde, expression devenues célèbres depuis que Serge Alimi conféra ses lettres de noblesse à cette catégorie de journalocrates !

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