Qu’est-ce qui est le plus préoccupant et important à l’approche de la fin du mois ?
LE COMPTE EN BANQUE QUI SE VIDE OU LA BARBE DU VOISIN QUI POUSSE ?
La France est un des pays les plus riches du monde, mais des gens y meurent encore de froid, et comme l’a dit Gabriel 10 millions de personnes y vivent avec moins de 800 euros par mois.
Mitterand (comme le PS) est arrivé au pouvoir trop tard, quand il n’était plus que l’ombre de lui-même, la loi Pompidou-Giscard était passée depuis 1973, date à partir de laquelle la dette publique a plongé, Mitterrand, lui, a abdiqué en 1983, « forcé » par son voeu de construire l’Europe, on a donc eu, depuis la deuxième guerre mondiale, 2 ans de gauche au pouvoir,
Aujourd’hui la France est sous la coupe de l’équivalent français de l’administration Bush, et prête allégeance au nouvel ordre mondial.
Mais n’a pas d’Obama, qui, malgré une analyse « conspirationniste » (sur le plan de la politique extérieure américaine en effet le complexe militaro-industriel « rules » toujours, et Obama ne se dresse pas face à Wall Street), reste sur le plan intérieur un président plus ou moins « Rooseveltien », qui face à l’ampleur des dégâts, remet la couverture maladie au goût du jour.
Pendant qu’ici on reste dans la logique destructrice des politiques Reagan/Thatcher avec 30 ans de retard, et on est là à mesurer la barbe de nos voisins, alors oui Gabriel a raison, et vous avez tort Marc Gélone, je ne dis pas que Strauss-Kahn est la solution, pas du tout, ni l’UMP, ni le PS, ni le FN ne m’intéressent, mais c’est pas en se prenant la tête sur qui est (un bon) français qui ne l’est pas, qu’on améliorera quoi que ce soit (alors vous allez me dire l’insécurité etc, on n’a pas le temps de s’attaquer à la pauvreté qui engendre l’insécurité donc il faut soigner le symptôme d’urgence, peut-être, pour les gens concernés (pas ceux qui tremblent devant TF1), mais une fois de plus c’est pas avec les idées du FN qu’on y arrivera),
il m’est pénible d’avoir à vous rappeler la répartition des richesses mondiales et françaises, les vrais problèmes.